#1\/9 - Message aux sportifs qui dirigent le COJO 2024 (J.O.)

LE CONSTAT :

4 tentatives infructueuses en moins de 20 ans avant d’avoir les J.O. + une attribution tirée par les cheveux. + Des ratées à l allumage + des difficultés régulières remettant en cause l’organisation même + une incertitude maximale

LE POURQUOI :

Oublie, mépris même du Passé. C’est pour cela que vous êtes mal barrés et que la mayonnaise a du mal a prendre... Le projet se débat dans des querelles de chapelle, de lutte de pouvoir. Il n’a pas "d’envergure", pas de souffle. Il a besoin d’un second souffle

DEMONSTRATION HISTORIQUE :

1924, PARIS, COUBERTIN p. 281 :

« On me trouvera sévère, voire grincheux. Je tâche de rester « objectif », voila tout. Il n’y a ni animosité ni rancune dans ce jugement qui s’étale sur des faits patents… ».

« En tant que rénovateur des Jeux, ce qui m’intéresse avant tout, c’est le respect de leur base internationale et de leur caractère éclectique ; c’est en second lieu, l’état d’esprit des concurrents ; c’est, enfin – mais seulement en 3eme lieu- le rôle joué par les dirigeants et le travail des organisateurs… ».

« Le Comité français d’organisation a dû céder à la pression qu’il subissait : Pris entre les tracasseries administratives, l’indifférence systématique du gouvernement de Mr Poincaré, la pesée d’intérêts personnels inavouables, les combinaisons électorales, les jalousies individuelles…le groupe des organisateurs n’a point trouvé dans une opinion énervée et divisée l’appui qu’il était en droit d’espérer pour une entreprise d’intérêt national. De là sorti un état d’incertitude incessant qui nécessita à maintes reprises le recours à des redressements de dernière heure, imparfaits et coûteux. »

NE SOMMES – NOUS PAS AU CŒUR DE L’ACTUALITE du COJO 2024 ?

Que faire ? Voici une série de propositions, de mesures-chocs, capables de :

- D’ abord constituer un électrochoc.

- Ensuite capable de redresser la barre, de favoriser la réussite de votre mission.

- Enfin, capable, pour reprendre ce que j’ai dis précédemment, de " faire bander la France" et vibrer l’Humanité.